L'ambition de cette page n'est pas d’établir les canons de la composition et du cadrage en photographie. La littérature, technique, abonde sur le sujet : Google saura vous fournir des règles précises, abondantes et froidement techniques. D’aucuns vous parlerons de lecture d’image, de lignes de fuite, de cadrage en débordement, etc. Cependant, considérant que la
photographie relève d’une pratique personnelle extraite au possible de considérations techniques, je n’ai pas consultée cette littérature.
D’ailleurs, qui peut être suffisamment prétentieux pour imposer énoncer des règles voulues absolues en la matière.
Les principes qui suivent sont simplement le fruit de plusieurs années de pratique passionnée de la photographie non-numérique. Ces règles ont été écrites, a posteriori, en revenant sur ce moment unique qu’est le cadrage. En effet, pour moi, cadrer est affaire de sensations. Cela procède d’un jugé inconscient de l’esprit qui recherche, à travers le regard et l’objectif, une harmonie éphémère qui sera perdue le temps de la voir figée sur papier papier photographique.
Ainsi, intuitivement, afin de contenter suffisamment l’œil avant de presser le déclencheur, mon cerveau m’amène systématiquement et inconsciemment à considérer quelques règles simples.
Cela ne signifie pas qu’il s’agisse de canons universels : une belle image pouvant être réalisée au mépris total de ces principes. L’ambition des lignes qui suivent est de livrer une recette personnelle et basique qui ne fonctionne pas à chaque fois. Une recette qui nécessite cinq ou six ingrédients de bases qui sont les suivants :
I. Bannir le 50/50